dimanche 27 juillet 2014

AVANCES RECENTS ET DIFFICULTES dans la détermination de la force d’oscillateur pour les éléments des terres rares et des ions

Dans ce document dévoué à une recherche systématique d’atomes et d’ions lanthanides (série des lanthanides dans le TP) ; deux méthodes expérimentales ont été considérées : l’usage de l’anneau de stockage d’ions lourds combiné à un laser examinant les  populations de même niveaux. Ainsi que la technique  laserinduced fluorescence (LIF) basée sur l’excitation  des matières des plasmas par le laser. Ces deux approches expérimentales ont été argumentées par des calculs techniques (Avec la méthode Hartree-Fock Relativiste « HFR »[15, 16]) utile pour fournir les fractions de branchements quand les données expérimentales ne sont pas disponibles.                                                                                                                                              Pour les états métastables, les durées de vie peuvent varier des millisecondes aux années (dans le vide ordinaire),la fréquence des collisions des atomes voisins ou des molécules voisines  est très grande comparé aux taux de déchéances radiativesdes transitions interdites. Ces dernières années, deux majeurs exploits techniques ont rendues possible à des mesures durables des niveaux métastables dans le laboratoire : par les approches de pièges à ions ou par les anneaux de stockages d’ions. Nous considèrerons des mesures de durées de vie exécutées l’université de Stockholm (the cryring)  par le professeur S.MANNERVIK et son équipe [1,2,3, 8, 11]. 
AVANTAGES  DE LA METHODE DES ANNEAUX DE STOCKAGES DES IONS (the cryring)
La mesure des longues durées de vie (jusqu'à plusieurs dizaine de  secondes) est possible
·         La technique donne l'accès aux  états métastables bas,  lesquels sont fréquemment importants dans l'astrophysique. 
·         De telles durées de vie sont une épreuve exacte des  modèles théoriques  parce qu'elles sont très sensibles aux  effets d'interaction des  petites configurations. 
·         L'exactitude obtenue est “haut” (atteint typiquement1%). 
·         Il y a une possibilité que le laser examine les populations des niveaux d’énergies, cardans cette technique, une transition permise est induite parles métastables qui nivellent le niveau supérieur. Ce niveau supérieur, dont la durée de  vie est généralement de quelques nanosecondes (ns), tombera en décadence en dessous des métastables ou à un autre niveau plus bas;l’intensité de déchéance de la fluorescence est proportionnel à la population du niveau des métastables.  Les mesures  faites au CRYRING ont été largement  discuté dans une révision récente [8, 9]. 
Parmi les difficultés rencontrées en utilisant cette technique, mentionnons: 
·         L'usage d'un appareil expérimental extrêmement sophistiqué  exige la présence d'une équipe technique très qualifiée et une planification à long terme des expériences. 
·         Un nombre limité de niveaux est accessible à travers cette  technique qui exige des dimensions prenantes. 
·         Quelques corrections spécifiques, comme ceux associés au repeuplement effectué, a besoin d'être pris en compte.
Dans la structure d'une collaboration bien établie entre  les universités de Stockholm, de Liège et de Mons, les mesures obtenues par le CRYRING ont été appliquées bien avant avec succès sur le LaII et le NdII.
Ø  Dans le cas de l’état  métastable (a) 1G4 et (b)  1D2 de LaII, les mesures expérimentales des durées de vie sont respectivement ζ = 5.2 ± 0.2 s et 2.1 ± 0.3 s. Les valeurs théoriques obtenues à partir de la méthode  HFR,  y compris les effets de polarisation de cœur, sont  5.09 et 2.18 s,sont en accord  avec l’expérience.
Ø  Dans le cas du  Nd II, les mesures ont été exécutées pour quelques états métastables  de la configuration 4f4(5I)5d (des termes 6G, 6I et 6K).  Les résultats préliminaires indiquent que la théorie et l’expérience sont en accord.  La deuxième technique, utilisée largement dans le contexte pour la mesures de la durée de  vie des lanthanides en temps-résolu, est la méthode LIF. Ces dernières années, cette méthode a été adoptée par plusieurs groupes de recherche  partout dans le monde: en particulier l'équipe de l'Université de Wisconsin aux USA (J. Lawler et collègues) et le groupe du Lund Centre Laser en Suède (S. Svanberg et collègues)[14, 16, 37]. 
Par rapport aux caractéristiques principales de cette technique, il se doit d’accentuer sur: 
·         L'excitation sélective permet d’éviter les problèmes de cascade inhérente dans quelques approches expérimentales et exige des corrections ad hoc. 
·         Beaucoup de niveaux sont accessible à travers l'usage des différents régimes d'excitation et différents teintures de lasers (un photon-un pas, un photon-deux pas, excitation de deux photons).  
·         Les différentes étapes de l'ionisation qui peuvent être considérées sont  produites dans des plasmas induit par le laser (neutre, ionisé séparément, doublement ionisé et égalise trois fois  ionisé).
·         Une large gamme de valeurs est accessible (aligner, en gros  de 1 ns de plusieurs centaines de nanosecondes). 
·         Plusieurs mesures de durée de vie peuvent être exécutées avec une exactitude de quelques pourcents. 


·         Cependant, les durées de vie expérimentales doivent être combinées avec les  fractions de branchement  observés ou calculés. 

Comme un exemple spécifique des résultats obtenus avec cette technique, nous permet de  mentionner ici quelques valeurs numériques récentes dans le cas du Nd Ι. Pour les niveaux d’énergies 18741.337, 20300.875, 22367.268,et 22490.970cm-1, les durées  vies mesurées par la LIF  sont  respectivement, 83 ± 5, 12.7 ± 1.0, 46 ± 3 et 84 ± 6 ns. Les nouvelles valeurs expérimentales du NdΙ consentent bien (dans les barres de l'erreur) avec  les résultats antérieurs trouvés par Gorshkovet al [17]. (C.-à-d. 85 ± 7,  11 ± 1, 45 ± 3 et 84 ± 7 ns, respectivement) qui  utilise une impulsion d’électrons différée par la méthode de la coïncidence et par celle de Marek et Stahnke [18] pour les deux premiers niveaux (c.-à-d. 77.4 ± 5.4 et 11.8 ± 0.8 ns), qui ont utilisé une technique de coïncidence et excitation différée du laser.
Avances et difficultés en théorie 
Le choix d'une méthode théorique pour le calcul des probabilités de transition dans des ions lourds (comme ceux du groupe de lanthanide) est compliqué pour le cas des approches ab initio  par un fort écroulement de l’orbital 4f qui a lieu dans lanthane et observé  le long du groupe entier par un grand nombre de  niveaux qui surviennent des configurations qui entrainent l’ouverte de la couche 4f.                                                                                                                                                                         L’Interaction de configuration (CI en anglais) et les effets relativistes sont attendus  sont importants dans les atomes lourds ou les ions. De plus, dans le cas d'approches semi-empiriques, le manque des niveaux d'énergies expérimentaux fiables  pour beaucoup de configurations basses sont vraisemblablement interprétées par les procédures appropriées de moindres carrés illusoires. C'est  par conséquent extrêmement difficile de décrire la structure électronique de façon  réaliste. 
De plus, le choix d'une méthode théorique est guidé par les considérations générales suivantes: 
·         Les approches Monoconfigurationnelles  (tel que l’approximation de Coulomb) est inadéquat parce que le CI n’est pas  négligé.
·         les calculs non-relativistes Ab Initio devraient être exclus  parce que la relativité est supposée jouer un rôle non-négligeable.
Les Méthodes relativistes, bien que basé en partie sur l’équation de Schrödinger (comme la méthode HFR[15]) ou entièrement des techniques relativistes(comme la méthode multiconfigurationnelle de Dirac-Fock ou MCDF) est adéquat a priori[19, 20]. 
Si nous limitons la discussion aux deux dernières approches,les considérations générales suivantes sont appliquées: 
La méthode MCDF devrait être plus exacte que la méthode HFR pour les ions lourds mais il consomme plus de temps sur l'ordinateur

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