vendredi 26 septembre 2014


Introduction

En essayant de répondre  simplement à cette question, elle nous amène à se poser d’autres questions plus précises à savoir :

·        Qu’est-ce que  ‘‘ servir Dieu ’’,

·        Qui peut/doit servir Dieu ?,

·        Pourquoi devrais-je servir Dieu ?

 

Nous devons savoir que le service a commencé dans le ciel avec les Archanges, les Chérubins, les vingt-quatre vieillards, les quatre êtres vivants…. (C‘est l’exemple de Lucifer qui fut un chérubin protecteur « Ezéchiel 28 :13-19, Apocalypse 4 :4-10/5 :14 »).

Puis avec l’homme dans le Jardin d’Eden où il va placer l’homme et la femme en leur indiquant la tâche qui était la leur ; il leur dit : « Faisons l'homme à notre image,  selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre…» (Genèse 1 :26-31) et « L'Éternel Dieu prit l'homme, et le plaça dans le jardin d'Éden pour le cultiver et pour le garder… »  (Genèse 2 :15-17).

Ensuite, viens Abraham qui reçut l’appel de quitter ses parents et son pays afin de servir Dieu (Genèse 12)  et c’est avec lui que commença le service du protocole comme nous l’avons vu dans l’une de nos éditions précédente (Genèse 18).

Ainsi que Moïse qui fut un homme ‘’clef ’’ envoyé pour libérer le peuple de Dieu pour le service sur la montagne de Sinaï (Exode 3 :12/19 :3-6/25/26 ; Néhémie 10 :28-39). Sur cette montagne,  la tribu de Lévi fut choisie par Dieu pour le port du tabernacle et de tous les ustensiles pour en faire le service «…Remets aux soins des Lévites le tabernacle du témoignage, tous ses ustensiles et tout ce qui lui appartient. Ils porteront le tabernacle et tous ses ustensiles, ils en feront le service, et ils camperont autour du tabernacle… »  (Nombre 1 :47-54 ; Deutéronome 18 :5-8 ).

Autant d’hommes ont servi Dieu, autant aussi se sont révoltés jusqu’à pousser Dieu à détruire la terre (Sodome et Gomorrhe, le déluge de Noé, la tour de Babel…) jusqu’à dire : «...C'est en vain que l'on sert Dieu; Qu'avons-nous gagné à observer ses préceptes, Et à marcher avec tristesse à cause de l'Éternel des armées? » (Malachie 3 :14).

C’est ainsi, que par son grand amour pour nous, Dieu envoya son fils pour payer le prix pour nous afin d’obtenir une nouvelle chance de le servir.  Il fallait pour cela un lieu idéal pour un service idéal : l’église (organisation des chrétiens qui marchent selon que l’Esprit Saint les conduit, « Nombre 9 :15-23»). Nous tenons à rappeler ici que pour le choix d’une église, il faut faire la différence entre « lieu idéal » et « lieu par conviction de Dieu» : pour être à la bonne place, au bon moment, avec les bonnes personnes. Car servir Dieu est le but de notre présence sur terre. C’est-à-dire que nous sommes la main de  Dieu sur la terre ; et pour accomplir son œuvre, Dieu va/doit passer par nous (les Hommes qui le craignant « Malachie 3 :16-1/4 :1-3 »). Tout ceci, pour dire que Dieu a besoin de nous comme nous avons besoin de Dieu. C’est pourquoi nous devons savoir ce que c’est « Servir Dieu ».

 

 

            Pour cela, nous devons savoir ce que c’est qu’un chrétien : un chrétien, c’est cette personne qui a demandé à Dieu de transformer sa vie et qui a accepter Jésus Christ  comme seigneur et sauveur personnel. Sachant que par ses propres efforts, il ne peut effacer aucune seule de ses fautes, il demande le sang de Jésus Christ.                                                                                                                  

Or le service pour Dieu ne concerne que ceux qui sont devenus véritablement des chrétiens par une décision personnelle. Ceux qui ne le sont pas, ne font pas partie de la famille de Dieu et ne peuvent donc servir Dieu, car ils ne le connaissent pas.  « Mais à présent que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu… » (Galates 4 :9). Ici, nous tenons une fois de plus à rappeler que le « service » n’a aucun rapport avec le « Salut Eternel » que le Christ nous a acquis à la croix.

Mais par amour et par reconnaissance, nous désirons plaire à notre Dieu et faire ce qu’il nous demande : ce qu’il veut, c’est que nous grandissions spirituellement. Ne soyons pas comme ces Corinthiens à qui l’apôtre Paul reprochait de demeurer des « Bébés spirituels » (1 Corinthiens 3 :2).

Ceci dit, par amour pour Dieu, nous devons faire  ‘ ‘ quelque chose ’’ pour Dieu. Mais Quoi et Comment ?

«Mais vous recevrez une puissance, le Saint Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre » (actes 1 :8).

Depuis la pentecôte, tout homme dès sa conversion reçoit en lui l’Esprit Saint et il devient capable de faire ce ‘‘quelque chose’’ c’est-à-dire servir Dieu :

v Servir Dieu : un  témoignage.

Nous sommes invités à dire autour de nous ce que Dieu a fait pour nous dans son amour en annonçant le Christ à de nombreuses personnes (Jean 3 :16).

v Servir Dieu : un acte d’amour.

Notre amour pour Dieu doit être notre première motivation pour le service (Marc 12 :28-30). L’aimer en actes et en vérité (1Jean 3 :18). C’est pourquoi, nous devons mettre au service de Dieu nos talents et nos dons avec joie (Psaume 100 :2).

v Servir Dieu : un acte d’obéissance.

Nous avons été créé pour une bonne œuvre « Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d'avance, afin que nous les pratiquions. » (Ephésiens 2 :10). Ceci, afin d’être des bâtisseurs de son œuvre, contribuer à l’établir le royaume de Dieu sur la terre.                                                                                                                                        Le service pour Dieu n’est pas normalement optionnel, c’est plutôt le désir de l’Esprit en nous et cela fait partie du plan de Dieu pour nous.

v Servir Dieu : un privilège.

C’est une grâce et la grâce est un privilège ; celui d’être au service d’un si grand  Dieu (proverbes 22 : 29).

v Servir Dieu : une source d’épanouissement.

C’est en servant Dieu que le chrétien porte des fruits. C’est comme cela  que nous comprenons et expérimentons les choses de Dieu. Le fait de faire ceux pourquoi nous avons été créés, nous manifestons le potentiel que Dieu a mis en nous.  Même quand on ne sait pas ce qu’on doit faire, il suffit de commencer là où il  y a à faire et on finit par découvrir les dons et talents cachés en nous.

v Servir Dieu : la prière.

Vous pouvez certes prier pour vous et votre famille, mais le plus important est de prier pour les autres. Pour que nous soyons sauvé et que nous parvenions à la vie éternelle (1 Timothée 2 :1-4 ; 1 Thessaloniciens 5 :17 ; Matthieu 9 :35/10 :1 ; Psaumes 55 :18 ). 

 



Pour conclure, nous devons noter que tous ceux qui ont servi Dieu ont payé un prix : la consécration, l’obéissance, la dépendance à Dieu (1 Timothée 2 :15 ). Il y’a une chose certaine que nous pouvons être sûr et certains, c’est que Dieu appelle à des grandes taches ceux qui commencent par les petites (1 corinthiens 3 :5-6 ; 2 Chroniques 16 :9).

jeudi 21 août 2014

lève-toi,sois éclairée, l'heure est arrivée

Pour comprendre ce thème, nous devons trouver le pourquoi de ces passages bibliques. Pour cela, il faut comprendre l’histoire de l’église c’est-à-dire comment l’église est né ? : l’église est née pour ramener les hommes qui s’étaient perdu vers Dieu, en les rappelant les temps dans lesquels nous nous trouvons et en nous exhortant à tenir ferme et à garder la foi. Car le Christ lui-même a dit « Mais, quand le fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » (Luc18 :8). Ceci, en nous amenant à nous dépouiller de nos mauvaises œuvres et à rentrer dans la gloire de notre seigneur Jésus Christ.

Etant dit, nous pouvons donc aborder avec toutes les raisons possibles notre thème à savoir : « Lève-toi, sois éclairée, l’heure du réveil à sonner ».



Pour comprendre ce thème, il est nécessaire définir certaines phrases en répondant aux questions suivantes :
Pourquoi se lever? (Esaïe 60 :1, Romains13 :11) ;
Avec le chrétien devrait-il être éclairé ? (Esaïe60 :1) ;
C’est quoi ou c’est qui la lumière qui arrive ? ((Romains13 :12).

En répondant à ces questions, nous pouvons rendre plus claire chaque verset de ces deux livres de notre thème :

=>1

A propos de ceux qui dorment, le livre des proverbes nous dit, dans Proverbe 6 :4-11/20 :13 et Psaume13 :4  « lire ».

Ici, on nous demande de nous lever par ce que nous sommes couchés et que nous dormons. C’est-à-dire que notre état physique comme spirituel ne plaisent pas à Dieu et nous ne sommes pas dans la position dans laquelle nous pouvons voir la gloire de Dieu ou peut être de la recevoir afin d’éclairer les autres (Luc 9 :28-32) : c’est pourquoi, il veut que nous sortons du sommeil dans lequel nous sommes plongé afin de veiller jusqu’au lever du jour (Romains 13 :11).

=>2

En tant que chrétien, nous devons être nous-même éclairé afin d’éclairer les autres. Ceci, afin de communiquer la vie (la lumière) et surtout de rendre témoignage à la lumière (Jean 1 :1-7, Psaume 119 : 105).

=>3

Dans le livre de Jean 1 :19-27, Jean-Baptiste nous montre la lumière à laquelle il a rendu témoignage : le Christ ! (Psaume 27 :1). Cette lumière nous indique aussi la venue du Christ « Jésus revient bientôt …. ».


Après avoir expliqué ces phrases, nous pouvons aborder notre thème avec aisance :

« La nuit est avancée, le jour approche… » (Romains 13 :12). Nous sommes dans des temps difficiles où le diable tient tout par sa main, où tout ce qui est bon devient mauvais et vis-versa, mais sur nous Dieu veut marquer une distinction. C’est pourquoi l’apôtre Paul en enseignant son fils spirituel Timothée, insiste sur les signes qui montrerons que le jour est proche et que la nuit est avancée en lui indiquant ainsi quelle position devra-t-il tenir quand ces moments viendrons (2Timothée 3 :1-5 ; 14-17/4 :1-8) ou bien (2chroniques 18 /19 ; 1Rois 22 :1-7,13 ; 1Corinthiens 6 :8-20).

C’est pourquoi, à nous qui l’avons reçu, si nous gardons la foi, nous cherchons sa face, et si nous nous détournons de nos mauvaises voies ; il veillera sur nous et il nous épargnera quand même la nuit sera là et que l’obscurité couvrira les peuples (2chronique 7 :11-14). En plus, face au fait qu’il nous a prévenus des derniers jours. Il veut que, nous qui avons était choisi de nous dépouiller des mauvaises œuvres et de devenir « la lumière du monde et le sel de la terre » afin d’éclairer le monde par notre comportement, notre façon de fer, bref dans le seul but de plaire à Dieu qui nous a appeler au service (Ephésiens 4 :20-24). C’est pour cela que David pouvait dire « la nuit devient lumière autour de moi…. » (Psaume 139 :11-12/ 36 :9).

Tout cela parce que, « les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles….» (2Corinthiens 10 :4-5, Ephésiens 6 :10-17) et même quand l’obscurité sera là, ces armes nous permettrons de marcher comme en plein jour (Romains 13 :13) afin de demeurer dans l’éveil (Marc 13 :33-37 ; Luc 21 :36 ; Psaume 43 :3/ 112 :4).

Maintenant, ayons revêtu le Christ nous ne devions plus marcher comme ceux du monde dans les convoitises charnelles, mais plutôt être des modèles en tout et pour tout, pour que Dieu soit glorifié le jour de sa visite (1Pierre 2 :11-12/ 1 :14-16 ; Galates 3 :27).



 

En conclusion, Dieu qui nous aime tant, nous rappelle que les moments dans lesquels nous nous trouvons sont difficiles et que les derniers jours sont là. Il nous amène à prendre garde, à changer notre attitude et de profiter de la grâce qu’il nous donne. Dans le but de veiller afin de ne pas être surpris par le levé du jour comme les vierges folles le fut de l’époux quand on cria «Voici l'époux, allez à sa rencontre! » (Matthieu 25 :6).

Rôles, responsabilités, articulations au niveau national(Economie verte au Congo)


Le gouvernement est appelé á jouer un rôle pivot dans la construction du

développement durable du pays. C’est ainsi que tous les départements

ministéiels doivent produire un schéma sectoriel de dévelloppement durable et

les pôles de coordination se charger de la cohérence, du suivi et de la mise en

oeuvre da la politique nationale de dévelloppement durable. Ce rôle est la

responsabilité :

– du Ministère de l’Économie Forestière et du Dévelloppement Durable ;

– du Ministère de l’Environnement et du Tourisme ;

– du Ministère de l’Économie du plan, de l’Aménagement du Territoire et de

intégration ;

– des Ministères en charge de la gestion des ressources naturelles(pétrole,

mines, forêts, faune, hydraulique, pêche, sols) ;

– des Ministères chargés des infrastructures ;

– du départements ministériels chargés de la souveraineté et des questions

sociales ;

– des Ministères économiques ;

– des collectivités locales.

Ces rôles et ces articulations peuvent être traduis comme des complémentarités

et des solidarité intersectorielles obligatoires.

Le concept du dévelopement durable

 
Ce concept est né du constat de dysfonctionnement du mode de

développement actuel, qui a occasionné une fracture Nord/Sud et de

la recherche d’un développement humain globalisant et harmonieux

qui doit concilier l’écologie, l’économie et le social.

Le développement durable recouvre ainsi les notions de progrès social, de

solidarité entre les peuples, de lutte contre la faim, d’équité sociale, de commerce

équitable, d’alimentation saine et adaptée et de préservation de l’évironnement.

Mais cette définition qui consiste á répondre aux besoins du présent sans

compromettre la capacité des générations futures á satisfaire les leurs ne suffit

certainement pas pour permettre au plus grand nombre de comprendre la notion

de développement durable. Dans ces conditions, comment pourrait-il la

vulgarisation ?

Il faut par ailleurs noter que les trois (3) conventions dites de Rio (la Diversité

Biologoque 6 ; les Changement Climatique ; la Désertification et la Dégradation

des Terres) et l’Agent 21 modifie la défintion initiale, axée prioritairement sur la

préservation de l’environnement 7 et de la consomation prudente des ressources

naturelles non renouvelables 8. La nouvelle définition qui met en exergue les

«trois piliers» du développement durable, vise á concilier le progrès économique,

la justice sociale et la préservation de l’environnement. On considère qu’un

développement qui ne repose que sur les aspects économique et social est

équitable. S’il s’appuie sur le social et l’écologie, il est vivable. S’il ne tient

compte que des aspects économique et écologique, il est viable.

La compréhension de la notion du Développement durable ne semble toujours

pas évidente pour les populations. On devrait commencer pour la clarification

par énoncer ses objectifs. Ceux-ci sont définis dans l’Agenda 21 9,adopté lors du

sommet de la Terre de Rio de Janeiro en 1992.

La stratégie de Développement durable tire ses fondements de l’Agenda 21 dont les

principaux objetifs qui visent la satisfaction des besoins essentiels des communautés

humaines présentes et futures,en rapport avec les contraintes démographiques sont

ci-dessous résumés :

– Développement humain ;

(a) accés á l’eau potable et á l’électricité ;

(b) lutte contre la faim ou la malnutrition, sécurité alimentaire ou souveraineté

alimentaire ;

(c) accés á éducation ;

(d) accés á la santé ;

(e) accés pour tous á l’emploi.

– L’amélioration de la qualité de vie. Accès :

(a) aux soins médicaux ;

(b) aux services sociaux ;

(c) á un logement décent ;

(d) á la culture ;

(e) au bien-être social.

– Le respect des droits et des libertés de la personne :

(a) participation, pour l’ensemble des groupes sociaux, aux différents processus

de prise de décision ;

(b) respect du genre ;

i. intégration sociale et professionnelle des personnes vulnérables ou défavorisées

;

ii. liberté de la presse ;

iii. résolution des conflits ;

iv. liberté d’expression.

– La satisfaction des besoins énergétiques du pays et la promotion des énergies

renouvelables : hydoélectricité, énergie éolienne,énergie solaire, géothermie, boisénergie,

cogénération.

Cette vision a été par la suite renforcée en 2000 par les Nations-Unies, avec

l’adoption des objectifs du Millénaire pour le Dévelippement.

Le développement durable du Congo résulte donc de la volenté politique de

rendre effectives les mutations nécessaires dans tous les secteurs de la vie

nationale et d’assurer une amélioration continue des conditions de vie des

populations.

La modernisation du pays passera par la promotion des valeurs favorables au

développement durable et la mise en oeuvre des actions fortes qui transforment

en profondeur ses modes de vie et de gestion. Parmi ces actions, on peut citer :

l’amélioration du système éducatif et sanitaire national, la modernisation de

l’administration publique, da la justice, de la force publique, de tous les

fondamentaux de la vie en société, de la gouvernance économique publique et

de l’outil diplomatique au service du développement.

L’industrialisation, quant á elle, se réalisera á travers la consolidation, la

diversification des capacité des industries existantes, la transformation des

produits agricoles et des ressources naturelles, la protection des biens

manufacturés, la structuration de l’offre locale en matière de tourisme et de

services, la création des zones économiques industrielles spécialisée dans les

exportations et l’émergence d’une industrie lourde, ultilisation des technologies

respectueuses de l’environnement.

Dans la construction de l’avenir, le pays se devra de maîtriser chaque étape de

son dévelloppement et les tâches qu’il s’assigne en vue de répondre avec

précision aux besoins de sa société, de son économie et de la planète.

LE SUCCÈS EST RELATIF

Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans le stade courent tous, mais qu’un seul remporte le prix? Courez de manière à le remporter (1 Corinthiens 9:24).
Etre un succès signifie vivre la vie victorieuse grâce à la Parole de Dieu. Etre plein de succès veut dire aussi atteindre les objectifs souhaités par Dieu pour votre vie. Vous ne devez pas mesurer votre succès en vous comparant avec quelqu’un d’autre, parce que vous ne pouvez pas connaître le plan de... Dieu pour la vie de cette personne. Ne pensez pas que vous êtes en train d’échouer juste parce que quelqu’un d’autre "réussit." Dieu ne définit pas le succès de cette façon.
Le succès est relatif, et nous sommes tous à différents stades dans la vie. Entre vous et Dieu, vous pouvez savoir si vous êtes un succès ou non. Dieu mesure votre succès par ce que vous avez pu accomplir de tout ce qu’Il a prévu que vous fassiez, à différentes étapes de votre vie. Vous pouvez regarder votre vie aujourd’hui, maintenant même, et dire si vous êtes un succès, à ce stade de votre vie.
Le rêve de Dieu est pour vous d’amasser succès sur succès. Si vous avez du succès aujourd’hui, Il peut compter sur vous pour en faire plus, et vous confier un niveau encore plus élevé de succès demain. Par conséquent, mesurez votre succès à chaque moment de votre vie en comparant votre performance ou vos accomplissements avec les objectifs que vous vous étiez fixés d’atteindre au début. Vous pouvez être un succès à un certain niveau et ensuite l’objectif s’élargit, les défis augmentent, et la barre monte encore plus haut. Lorsque vous surmontez les défis et atteignez ces nouveaux objectifs, vous redevenez un succès à ce nouveau niveau. Il en est ainsi d’un niveau de gloire à un autre.

Réussir sa vie de couple avec le Seigneur!

Réussir sa vie de couple avec le Seigneur!
Pour vivre une relation harmonieuse il est nécessaire que chacun apprenne à connaître l’autre à l’accepter en essayant de le comprendre dans le but de mieux apprécier ses attitudes ses pensées et de l’aider à mieux remplir les responsabilités qui sont les sienne dans le foyer. Nous vous invitons donc a lire cet article.
Psychologie comparée de l'homme et de la femme
D’après le célèbre anthropologue Margaret Mead, « La première expérience de la petite fille est celle d’un contact intime avec sa propre nature. Elle apprend à dire : « Je suis ». Alors que le petit garçon en revanche apprend qu’il doit commencer par se différencier de l’être qui lui est le plus proche, sa mère, sous pêne de ne jamais exister.
Les filles apprennent simplement qu’elles sont et les garçons qu’il doivent devenir.» Margaret Mead explique que le petit garçon doit sortir de lui-même, et pénétrer dans le monde extérieur sans garantie de succès. Il se développe dans l’incertitude. Alors que la petite fille commence dans la certitude, dans la simple identification à la mère et atteint l’apogée de cette certitude en enfantant à son tour.
De plus, la petite fille est mieux préparé à la vie de couple que le petit garçon car alors que premier commence dès son jeune âge à entrer dans le monde de la compétition et de la domination à travers ses jouets (voiture, fusil, etc.) la fille apprend à vouer des relations en parlant à la poupée en lui préparant à manger et en la soignant.
Pour mener une vie harmonieuse avec son conjoint, il est important de connaître les différences entre l’homme et la femme.
Par exemple, les femmes pourraient cesser de croire que l’homme veut toujours tout contrôler ou avoir le dernier mot si elles se rendaient compte que l’homme veut tout simplement savoir qui dirige la situation à ce moment-ci, afin de mieux utiliser son temps et son énergie : prendre le leadership ou se mettre au service de l’autre. Les hommes pourraient cesser de croire que les femmes compliquent tout ou critiquent tout le temps s’ils comprenaient vraiment que la femme recherche a la fois relation, communication, collaboration et intensité et que c’est pour cela qu’elle veut savoir ce qu’il veut ou ce qu’il ressent et qu’elle lui exprime ses états d’âme.
Parler des différences entre l’homme et la femme quelques jours après la journée internationale de la femme peut sembler provocateur mais force est de constater que l’un des plus grand obstacle à l’acceptation du conjoint dans le couple est la méconnaissance de la psychologie du sexe opposé.
Les différences entre l’homme et la femme
I. La sexualité
A la puberté, la sexualité du garçon se manifeste aussitôt par une tension liée au besoin sexuel. L’homme possède un organe sexuel qui le domine : son pénis peut le décevoir, refuser de lui obéir à l’instant crucial. La sexualité masculine est une activité.
La jeune fille, elle, à la puberté ressent surtout un besoin diffus de tendresse. La femme est ses organes sexuels, ils font parti d’elle, elle ne fait qu’un avec eux. Ils ne la trahissent jamais. La sexualité féminine est un état et elle est liée à l’affectivité et à la sensibilité.
2. L’intelligence
L’intelligence masculine est plus orientée vers la matière inanimée, de la vient la plus grande aisance spatiale, abstraite et analytique. L’homme a tendance à réduire l’intelligence à une de ses formes ; la raison. Il aime les argumentations logiques plus que l’intuition.
L’intelligence féminine souvent qualifiée d’intuitive est liée à la capacité plus grande de saisir et de comprendre globalement les relations entre les êtres et les situations. Elle se comprend et comprend les autres par l’intérieur. Là où l’homme peut dire : « voila ce que je pense » la femme dira : « Voila ce que je sens ».
Son intelligence est concrète pour comprendre le discours de quelqu’un, elle suis moins le raisonnement qu’elle observe la personne qui parle.
L’harmonie conjugale est liée à l’heureuse cohabitation de la raison masculine et de l’intuition féminine. Mais les problèmes surviennent lorsque la femme plus portée à saisir le réel dans sa totalité concrète, refuse d’admettre l’argumentation logique de l’homme.
3. La sensibilité
Les hommes et les femmes éprouvent les mêmes sentiments, mais n’utilisent pas les mêmes langages émotionnels, les mêmes codes pour les manifester. C’est des problèmes essentiels dans le couple.
La sensibilité de l’homme nécessite un taux élevé d’intensité de stimulation pour être affectée. Lorsqu’il souffre il a davantage besoin d’être compris par sa femme que d’être consolé.
Son impassibilité apparente est sa défense, qui lui permet de paraître invulnérable. Ces mesures protectrices, ces défenses ont l’inconvénient de le couper de son intériorité, de son ressenti. Lorsqu’il va mal, il déclare : « ce n’est rien, ça va passer. » Il s’agite, plonge dans l’hyperactivité pour oublier ses soucis.
La sensibilité de la femme est tout autre. Une femme pleure sans honte. Elle ressent une riche palette de sentiments. On dit que la femme est « une spécialiste socio émotionnelle » Elle fait preuve d’un intérêt marqué prioritaire pour les personnes et pour les sentiments.
Face à son conjoint la femme hésite parfois à raconter ce qu’elle éprouve. Lorsqu’elle souffre elle a moins besoin d’être comprise que d’être consolée par celui qu’elle aime et se blottir dans ses bras.
4. La volonté
C’est la vie qui est le but de la volonté féminine ; elle n’a pas besoin d’être convaincu pour vouloir, elle a besoin d’aimer car sa volonté est une volonté d’intimité, d’influence et d’intériorité.
L’homme lui a besoin pour vouloir que trois conditions soient réunies : Il doit d’abord croire en la valeur de son acte. Ensuite il doit comparer ses capacités avec les exigences de la réalisation. En fin il doit n’avoir qu’un seul but. La volonté de l’homme est une volonté d’action, d’autorité et d’extériorité.
La femme ne comprend pas toujours que son mari a besoin d’une grande capacité psychique pour arriver à vouloir. Par ailleurs une fois que l’homme a décidé, il ne change pas facilement d’avis. Exiger de l’homme une nouvelle décision immédiate c’est le mettre mal à l’aise, le désorienter.
L’harmonie arrive lorsque la femme anime, encourage, stimule la volonté de son mari alors que la stabilité de celui-ci consolide secrètement la volonté féminine en lui laissant toute sa souplesse.
5. L’activité
L’activité masculine se libère en doses massives, que se soit physiquement ou intellectuellement. Les caractéristiques d’un homme en activité sont : l’isolement, la concentration, la lenteur, l’unicité de but l’endurcissement et la domination. Dès qu’un homme est en activité il replie sur lui-même et exige la tranquillité.
L’activité féminine est surtout mue par le sentimental et le physiologique. Riche en sentiment, elle éprouve le besoin d’aimer, d’aider, de conseiller, de stimuler. Elle aime travailler en intimité avec les êtres humains.
Une femme en activité se caractérise par une grande capacité d’agir, une ouverture à son environnement, la rapidité de sa mise en action et une grande capacité d’adaptation
6. Personnalité et individualité
Pour atteindre son maximum de force, l’homme tend son effort vers une seule direction. Il a donc un temps pour agir, un autre pour penser, un pour vouloir, un pour aimer. L’homme livre avec difficulté sa vie intérieur. Pour se confier il doit se faire violence.
Alors que l’homme met tour à tour en action sa volonté son affectivité ou sa pensée, la femme est toute entière en ce qu’elle réalise. Elle s’accomplie dans un don de toute sa personnalité. Contrairement à l’homme, elle aime vivre en intimité avec ceux qui l’entourent. Elle est altéro-centrique, orienté vers autrui.
Pour vire en harmonie, les deux époux doivent comprendre que leur nature sont distinctes et faire preuve de tolérance.
En sommes le psychisme de l’homme est davantage orienté vers l’action, la conquête, la compétition, la domination de la société et de la matière. Cela suppose chez lui une faculté qui lui permet à chaque instant de décomposer et de recomposer l’objet.
Besoins
L’homme
le respect
Dans le monde de la performance l’homme a besoin de se sentir respecté, valorisé.
En chaque homme il y a un fou et un roi. Parlez au roi il vous répond mais si vous parlez au fou il vous répond aussi
L’homme veut se sentir héros (complexe de superman) Il est sensible à la détérioration de son travail.
L’homme ne peut pas sans emploi sans conquérir sans performance.
La plus belle formule qu’une femme dise à celui qu’elle aime est : "Je suis fière de toi."
La femme
se sentir aimer
Quand une femme ne sent pas aimer elle peut être la femme plus riche du monde la plus compétente au travail, elle ne sera jamais satisfaite.
Une femme peut survivre sans ressources matérielles pourvu qu’elle se sente aimé
"La meilleure parole que l’homme puisse adresser à son épouse est : "Je t’aime, ma chérie",
Rien n’est plus plaisant pour la femme que d’être près de l’homme qu’elle aime.
La femme voudrait se réveiller chaque matin avec un nouveau visage.
EN CONCLUSION
La femme est essentiellement relationnelle et l’homme essentiellement fonctionnel. Pour vivre une relation harmonieuse il est nécessaire que chacun apprenne à connaître l’autre à l’accepter en essayant de le comprendre dans le but de mieux apprécier ses attitudes ses pensées et de l’aider à mieux remplir les responsabilités qui sont les sienne dans le foyer.
Il existe quelques irréductibles qui nient ou réfutent (sans jamais vraiment y parvenir) les différences homme – femme en présentant l’androgyne (personne qui a les caractéristiques des deux sexes), ou la gynandre, comme le sexe supérieur et l’idéal à atteindre. N’oublions pas qu’androgyne et gynandre sont synonymes d’hermaphrodite ; or, qu’on le veuille ou non, l’être humain est bisexué et cette bisexualité s’exprime par tous les pores de sa peau et dans tous les domaines de sa vie.
N’en déplaise aux chercheurs d’androgyne ou de gynandre, le meilleur représentant du principe masculin reste encore L’HOMME, même si certaines femmes, surtout celles élevées dans un monde exclusivement masculin, peuvent se retrouver davantage dans la description de la masculinité. N’en déplaise aux féministes radicales, la meilleure représentante du principe féminin reste encore la FEMME, même si certains hommes, surtout ceux élevés dans un monde exclusivement féminin, peuvent se retrouver davantage dans la description de la féminité.
Les hommes et les femmes, quoiqu’on en dise, sont désespérément différents dans certains aspects de leur être. Et c’est tant mieux. Nous pouvons ainsi éprouver du désir pour la différence et nous compléter grâce à ces différences.
Il n’est donc pas nécessaire à l’homme de devenir un peu plus femme ni à la femme de se masculiniser. L’équilibre dans la vie d’un couple ne consiste pas dans l’androgynisation des conjoints. Car si tel était le cas il ne serait plus question de complémentarité. Notre défie est tout simplement d’apprendre à parler deux langues ; Nous devons parfaitement intégré notre masculinité ou notre féminité et nous mettre à l’écoute attentive et respectueuse du sexe dit opposé, et surtout complémentaire
Pour vivre une relation harmonieuse il est nécessaire que chacun apprenne à connaître l’autre à l’accepter en essayant de le comprendre dans le but de mieux apprécier ses attitudes ses pensées et de l’aider à mieux remplir les responsabilités qui sont les sienne dans le foyer. Nous vous invitons donc a lire cet article.
Psychologie comparée de l'homme et de la femme
D’après le célèbre anthropologue Margaret Mead, « La première expérience de la petite fille est celle d’un contact intime avec sa propre nature. Elle apprend à dire : « Je suis ». Alors que le petit garçon en revanche apprend qu’il doit commencer par se différencier de l’être qui lui est le plus proche, sa mère, sous pêne de ne jamais exister.
Les filles apprennent simplement qu’elles sont et les garçons qu’il doivent devenir.» Margaret Mead explique que le petit garçon doit sortir de lui-même, et pénétrer dans le monde extérieur sans garantie de succès. Il se développe dans l’incertitude. Alors que la petite fille commence dans la certitude, dans la simple identification à la mère et atteint l’apogée de cette certitude en enfantant à son tour.
De plus, la petite fille est mieux préparé à la vie de couple que le petit garçon car alors que premier commence dès son jeune âge à entrer dans le monde de la compétition et de la domination à travers ses jouets (voiture, fusil, etc.) la fille apprend à vouer des relations en parlant à la poupée en lui préparant à manger et en la soignant.
Pour mener une vie harmonieuse avec son conjoint, il est important de connaître les différences entre l’homme et la femme.
Par exemple, les femmes pourraient cesser de croire que l’homme veut toujours tout contrôler ou avoir le dernier mot si elles se rendaient compte que l’homme veut tout simplement savoir qui dirige la situation à ce moment-ci, afin de mieux utiliser son temps et son énergie : prendre le leadership ou se mettre au service de l’autre. Les hommes pourraient cesser de croire que les femmes compliquent tout ou critiquent tout le temps s’ils comprenaient vraiment que la femme recherche a la fois relation, communication, collaboration et intensité et que c’est pour cela qu’elle veut savoir ce qu’il veut ou ce qu’il ressent et qu’elle lui exprime ses états d’âme.
Parler des différences entre l’homme et la femme quelques jours après la journée internationale de la femme peut sembler provocateur mais force est de constater que l’un des plus grand obstacle à l’acceptation du conjoint dans le couple est la méconnaissance de la psychologie du sexe opposé.
Les différences entre l’homme et la femme
I. La sexualité
A la puberté, la sexualité du garçon se manifeste aussitôt par une tension liée au besoin sexuel. L’homme possède un organe sexuel qui le domine : son pénis peut le décevoir, refuser de lui obéir à l’instant crucial. La sexualité masculine est une activité.
La jeune fille, elle, à la puberté ressent surtout un besoin diffus de tendresse. La femme est ses organes sexuels, ils font parti d’elle, elle ne fait qu’un avec eux. Ils ne la trahissent jamais. La sexualité féminine est un état et elle est liée à l’affectivité et à la sensibilité.
2. L’intelligence
L’intelligence masculine est plus orientée vers la matière inanimée, de la vient la plus grande aisance spatiale, abstraite et analytique. L’homme a tendance à réduire l’intelligence à une de ses formes ; la raison. Il aime les argumentations logiques plus que l’intuition.
L’intelligence féminine souvent qualifiée d’intuitive est liée à la capacité plus grande de saisir et de comprendre globalement les relations entre les êtres et les situations. Elle se comprend et comprend les autres par l’intérieur. Là où l’homme peut dire : « voila ce que je pense » la femme dira : « Voila ce que je sens ».
Son intelligence est concrète pour comprendre le discours de quelqu’un, elle suis moins le raisonnement qu’elle observe la personne qui parle.
L’harmonie conjugale est liée à l’heureuse cohabitation de la raison masculine et de l’intuition féminine. Mais les problèmes surviennent lorsque la femme plus portée à saisir le réel dans sa totalité concrète, refuse d’admettre l’argumentation logique de l’homme.
3. La sensibilité
Les hommes et les femmes éprouvent les mêmes sentiments, mais n’utilisent pas les mêmes langages émotionnels, les mêmes codes pour les manifester. C’est des problèmes essentiels dans le couple.
La sensibilité de l’homme nécessite un taux élevé d’intensité de stimulation pour être affectée. Lorsqu’il souffre il a davantage besoin d’être compris par sa femme que d’être consolé.
Son impassibilité apparente est sa défense, qui lui permet de paraître invulnérable. Ces mesures protectrices, ces défenses ont l’inconvénient de le couper de son intériorité, de son ressenti. Lorsqu’il va mal, il déclare : « ce n’est rien, ça va passer. » Il s’agite, plonge dans l’hyperactivité pour oublier ses soucis.
La sensibilité de la femme est tout autre. Une femme pleure sans honte. Elle ressent une riche palette de sentiments. On dit que la femme est « une spécialiste socio émotionnelle » Elle fait preuve d’un intérêt marqué prioritaire pour les personnes et pour les sentiments.
Face à son conjoint la femme hésite parfois à raconter ce qu’elle éprouve. Lorsqu’elle souffre elle a moins besoin d’être comprise que d’être consolée par celui qu’elle aime et se blottir dans ses bras.
4. La volonté
C’est la vie qui est le but de la volonté féminine ; elle n’a pas besoin d’être convaincu pour vouloir, elle a besoin d’aimer car sa volonté est une volonté d’intimité, d’influence et d’intériorité.
L’homme lui a besoin pour vouloir que trois conditions soient réunies : Il doit d’abord croire en la valeur de son acte. Ensuite il doit comparer ses capacités avec les exigences de la réalisation. En fin il doit n’avoir qu’un seul but. La volonté de l’homme est une volonté d’action, d’autorité et d’extériorité.
La femme ne comprend pas toujours que son mari a besoin d’une grande capacité psychique pour arriver à vouloir. Par ailleurs une fois que l’homme a décidé, il ne change pas facilement d’avis. Exiger de l’homme une nouvelle décision immédiate c’est le mettre mal à l’aise, le désorienter.
L’harmonie arrive lorsque la femme anime, encourage, stimule la volonté de son mari alors que la stabilité de celui-ci consolide secrètement la volonté féminine en lui laissant toute sa souplesse.
5. L’activité
L’activité masculine se libère en doses massives, que se soit physiquement ou intellectuellement. Les caractéristiques d’un homme en activité sont : l’isolement, la concentration, la lenteur, l’unicité de but l’endurcissement et la domination. Dès qu’un homme est en activité il replie sur lui-même et exige la tranquillité.
L’activité féminine est surtout mue par le sentimental et le physiologique. Riche en sentiment, elle éprouve le besoin d’aimer, d’aider, de conseiller, de stimuler. Elle aime travailler en intimité avec les êtres humains.
Une femme en activité se caractérise par une grande capacité d’agir, une ouverture à son environnement, la rapidité de sa mise en action et une grande capacité d’adaptation
6. Personnalité et individualité
Pour atteindre son maximum de force, l’homme tend son effort vers une seule direction. Il a donc un temps pour agir, un autre pour penser, un pour vouloir, un pour aimer. L’homme livre avec difficulté sa vie intérieur. Pour se confier il doit se faire violence.
Alors que l’homme met tour à tour en action sa volonté son affectivité ou sa pensée, la femme est toute entière en ce qu’elle réalise. Elle s’accomplie dans un don de toute sa personnalité. Contrairement à l’homme, elle aime vivre en intimité avec ceux qui l’entourent. Elle est altéro-centrique, orienté vers autrui.
Pour vire en harmonie, les deux époux doivent comprendre que leur nature sont distinctes et faire preuve de tolérance.
En sommes le psychisme de l’homme est davantage orienté vers l’action, la conquête, la compétition, la domination de la société et de la matière. Cela suppose chez lui une faculté qui lui permet à chaque instant de décomposer et de recomposer l’objet.
Besoins
L’homme
le respect
Dans le monde de la performance l’homme a besoin de se sentir respecté, valorisé.
En chaque homme il y a un fou et un roi. Parlez au roi il vous répond mais si vous parlez au fou il vous répond aussi
L’homme veut se sentir héros (complexe de superman) Il est sensible à la détérioration de son travail.
L’homme ne peut pas sans emploi sans conquérir sans performance.
La plus belle formule qu’une femme dise à celui qu’elle aime est : "Je suis fière de toi."
La femme
se sentir aimer
Quand une femme ne sent pas aimer elle peut être la femme plus riche du monde la plus compétente au travail, elle ne sera jamais satisfaite.
Une femme peut survivre sans ressources matérielles pourvu qu’elle se sente aimé
"La meilleure parole que l’homme puisse adresser à son épouse est : "Je t’aime, ma chérie",
Rien n’est plus plaisant pour la femme que d’être près de l’homme qu’elle aime.
La femme voudrait se réveiller chaque matin avec un nouveau visage.
EN CONCLUSION
La femme est essentiellement relationnelle et l’homme essentiellement fonctionnel. Pour vivre une relation harmonieuse il est nécessaire que chacun apprenne à connaître l’autre à l’accepter en essayant de le comprendre dans le but de mieux apprécier ses attitudes ses pensées et de l’aider à mieux remplir les responsabilités qui sont les sienne dans le foyer.
Il existe quelques irréductibles qui nient ou réfutent (sans jamais vraiment y parvenir) les différences homme – femme en présentant l’androgyne (personne qui a les caractéristiques des deux sexes), ou la gynandre, comme le sexe supérieur et l’idéal à atteindre. N’oublions pas qu’androgyne et gynandre sont synonymes d’hermaphrodite ; or, qu’on le veuille ou non, l’être humain est bisexué et cette bisexualité s’exprime par tous les pores de sa peau et dans tous les domaines de sa vie.
N’en déplaise aux chercheurs d’androgyne ou de gynandre, le meilleur représentant du principe masculin reste encore L’HOMME, même si certaines femmes, surtout celles élevées dans un monde exclusivement masculin, peuvent se retrouver davantage dans la description de la masculinité. N’en déplaise aux féministes radicales, la meilleure représentante du principe féminin reste encore la FEMME, même si certains hommes, surtout ceux élevés dans un monde exclusivement féminin, peuvent se retrouver davantage dans la description de la féminité.
Les hommes et les femmes, quoiqu’on en dise, sont désespérément différents dans certains aspects de leur être. Et c’est tant mieux. Nous pouvons ainsi éprouver du désir pour la différence et nous compléter grâce à ces différences.
Il n’est donc pas nécessaire à l’homme de devenir un peu plus femme ni à la femme de se masculiniser. L’équilibre dans la vie d’un couple ne consiste pas dans l’androgynisation des conjoints. Car si tel était le cas il ne serait plus question de complémentarité. Notre défie est tout simplement d’apprendre à parler deux langues ; Nous devons parfaitement intégré notre masculinité ou notre féminité et nous mettre à l’écoute attentive et respectueuse du sexe dit opposé, et surtout complémentaire

dimanche 27 juillet 2014

AVANCES RECENTS ET DIFFICULTES dans la détermination de la force d’oscillateur pour les éléments des terres rares et des ions


Introduction
Dans ce document dévoué à une recherche systématique d’atomes et d’ions lanthanides (série des lanthanides dans le TP) ; deux méthodes expérimentales ont été considérées : l’usage de l’anneau de stockage d’ions lourds combiné à un laser examinant les  populations de même niveaux. Ainsi que la technique  laserinduced fluorescence (LIF) basée sur l’excitation  des matières des plasmas par le laser. Ces deux approches expérimentales ont été argumentées par des calculs techniques (Avec la méthode Hartree-Fock Relativiste « HFR »[15, 16]) utile pour fournir les fractions de branchements quand les données expérimentales ne sont pas disponibles.                                                                                                                                              Pour les états métastables, les durées de vie peuvent varier des millisecondes aux années (dans le vide ordinaire),la fréquence des collisions des atomes voisins ou des molécules voisines  est très grande comparé aux taux de déchéances radiativesdes transitions interdites. Ces dernières années, deux majeurs exploits techniques ont rendues possible à des mesures durables des niveaux métastables dans le laboratoire : par les approches de pièges à ions ou par les anneaux de stockages d’ions. Nous considèrerons des mesures de durées de vie exécutées l’université de Stockholm (the cryring)  par le professeur S.MANNERVIK et son équipe [1,2,3, 8, 11]. 
AVANTAGES  DE LA METHODE DES ANNEAUX DE STOCKAGES DES IONS (the cryring)
·         La mesure des longues durées de vie (jusqu'à plusieurs dizaine de  secondes) est possible. 
·         La technique donne l'accès aux  états métastables bas,  lesquels sont fréquemment importants dans l'astrophysique. 
·         De telles durées de vie sont une épreuve exacte des  modèles théoriques  parce qu'elles sont très sensibles aux  effets d'interactiondes  petites configurations. 
·         L'exactitude obtenue est “haut” (atteint typiquement1%). 
·         Il y a une possibilité que le laser examine les populations des niveaux d’énergies, cardans cette technique, une transition permise est induite parles métastablesqui nivellent le niveau supérieur. Ce niveau supérieur, dont la durée de  vie est généralement de quelques nanosecondes (ns), tombera en décadence en dessous desmétastables ou à un autre niveau plus bas;l’intensité de déchéance de la fluorescence est proportionnel à la population du niveau des métastables.  Les mesures  faites au CRYRING ont été largement  discuté dans une révision récente [8, 9]. 
Parmi les difficultés rencontrées en utilisant cette technique, mentionnons: 
·         L'usage d'un appareil expérimental extrêmement sophistiqué  exige la présence d'une équipe technique très qualifiée et une planification à long terme des expériences. 
·         Un nombre limité de niveaux est accessible à travers cette  technique qui exige des dimensions prenantes. 
·         Quelques corrections spécifiques, comme ceux associés au repeuplement effectué, a besoin d'être pris en compte.
Dans la structure d'une collaboration bien établie entre  les universités de Stockholm, de Liègeet de Mons, les mesures obtenues par le CRYRING ont été appliquées bien avant avec succès sur le LaII et le NdII.
Ø  Dans le cas de l’état  métastable (a) 1G4 et (b)  1D2 de LaII, les mesures expérimentales des durées de vie sontrespectivementζ = 5.2 ± 0.2 s et 2.1 ± 0.3 s. Les valeurs théoriques obtenues à partir de la méthode  HFR,  y compris les effetsde polarisation de cœur, sont  5.09 et 2.18 s,sont en accord  avec l’expérience.
Ø  Dans le cas du  Nd II, les mesures ont été exécutées pour quelques états métastables  de la configuration 4f4(5I)5d (des termes 6G, 6I et 6K).  Les résultats préliminaires indiquent que la théorie et l’expérience sont en accord.  La deuxième technique, utilisée largement dans le contexte pourla mesures de la durée de  vie des lanthanidesen temps-résolu, est laméthode LIF. Ces dernières années, cette méthode a été adoptée par plusieurs groupes de recherche  partout dans le monde: en particulier l'équipe de l'Université de Wisconsin aux USA (J. Lawler et collègues) et le groupe du Lund Centre Laseren Suède (S. Svanberg et collègues)[14, 16, 37]. 
Par rapport aux caractéristiques principales de cette technique, il se doitd’accentuer sur: 
·         L'excitation sélective permet d’éviter les problèmes de cascadeinhérente dans quelques approches expérimentales et exige des corrections ad hoc. 
·         Beaucoup de niveaux sont accessible à travers l'usage des différents régimes d'excitation et différentsteintures de lasers (un photon-un pas, un photon-deux pas, excitation de deux photons). 
·         Les différentes étapes de l'ionisation qui peuvent être considérées sont  produites dans des plasmas induit par le laser (neutre, ionisé séparément, doublement ionisé et égalise trois fois  ionisé).
·         Une large gamme de valeurs est accessible (aligner, en gros  de 1 ns de plusieurs centaines de nanosecondes). 
·         Plusieurs mesures de durée de vie peuvent être exécutées avec une exactitude de quelques pourcents. 
·         Cependant, les duréesde vie expérimentales doivent être combinées avec les  fractions de branchement  observés ou calculés. 
Comme un exemple spécifique des résultats obtenus avec cette technique, nous permet de  mentionner ici quelques valeurs numériques récentes dans le cas du Nd Ι. Pour les niveaux d’énergies 18741.337, 20300.875, 22367.268,et 22490.970cm-1, les durées  vies mesurées par la LIF  sont  respectivement, 83 ± 5, 12.7 ± 1.0, 46 ± 3 et 84 ± 6 ns. Les nouvelles valeurs expérimentalesdu NdΙ consentent bien (dans les barres de l'erreur) avec  les résultatsantérieurstrouvés par Gorshkovet al [17]. (C.-à-d. 85 ± 7,  11 ± 1, 45 ± 3 et 84 ± 7 ns, respectivement) qui  utilise une impulsion d’électronsdifférée par la méthode de la coïncidence et par celle de Marek et Stahnke [18] pour les deux premiers niveaux (c.-à-d. 77.4 ± 5.4 et 11.8 ± 0.8 ns), qui ont utilisé une technique de coïncidence et excitation différée du laser.
Avances et difficultés en théorie 
Le choix d'une méthode théorique pour le calcul des probabilitésde transition dans des ions lourds (comme ceuxdu groupe de lanthanide) est compliqué pour le cas des approches ab initio  par un fort écroulement de l’orbital 4f qui a lieudans lanthane et observé  le long du groupe entier par un grand nombre de  niveaux qui surviennent des configurations qui entrainent l’ouverte de la couche 4f.                                                                                                                                                                         L’Interaction de configuration (CI en anglais) et les effets relativistes sont attendus  sont importants dans les atomes lourds ou les ions. De plus, dans le cas d'approches semi-empiriques, le manque des niveaux d'énergies expérimentaux fiables  pour beaucoup de configurations basses sont vraisemblablement interprétéespar les procédures appropriées de moindres carrés illusoires. C'est  par conséquent extrêmement difficile de décrire la structure électronique de façon  réaliste. 
De plus, le choix d'une méthode théorique est guidé par les considérations générales suivantes: 
·         Les approchesMonoconfigurationnelles  (tel que l’approximation de Coulomb) est inadéquat parce que le CI n’est pas  négligé.
·         les calculs non-relativistes Ab Initio devraient être exclus  parce que la relativité est supposée jouer un rôle non-négligeable.
Les Méthodes relativistes, bien que basé en partie sur l’équationde Schrödinger (comme la méthode HFR[15]) ou entièrementdes techniques relativistes(comme la méthode multiconfigurationnelle deDirac-Fock ou MCDF) est adéquat a priori[19, 20]. 
Si nous limitons la discussion aux deux dernières approches,les considérations générales suivantes sont appliquées: 
·         La méthode MCDF devrait être plus exacte que la méthode HFR pour les ions lourds mais il consomme plus de temps sur l'ordinateur.
·         Moins problèmes de la convergence se produisent lorsde utilisation du code HFR plutôt lors de utilisationdu code MCDF. 
·          Les effets CI peuvent être introduits dans les deux méthodes mais plus facilement détaillée dans l’entrée du code HFR. 
Les méthodes HFR et MCDF mènent tous les deux aux résultats fiables (Ek, λ, gA, gf, ζ….) pour les atomes fortement ionisés. La plupart des problèmes sont rencontrés dans les bassesétapes de l'ionisation. Lors del'approche ab initio, on utilise habituellement la méthode MCDF et la méthode HFR, soit une technique semi-empirique (Combiné avecun ajustement par moindres carrés des valeurs propres calculées de l’ Hamiltonien des valeurs  de l'énergie observées par expérience). Dans ce document, Cette dernière technique a été appliquée dans un ordre d'entrée étendu pour l’obtention des fractions de branchement nécessaire à convertir les durées de vie observées en probabilités de transition. Les calculs HFR ont été exécutés avec l’aide du Cowan, suite de codes sur ordinateur  modifié pour considérer les effets de polarisation du cœur (PCF en anglais) [21, 22]. Cette approche est basée sur l'équation Schrödinger,incluant les plus grandes quantités d’effets relativistes importants tels que les corrections de vélocité de masseainsi que la contribution de Darwin. Les PCF effectués  sont supposés être important pour les élémentslourdsneutres ou ionisés, qui ont  été introduit dans le calcul comme décrit ci-après.